La santé des femmes inspire FINN Partners. Un engagement fort pour l’équipe française qui, de longue date, cultive le socle pédagogique des messages avec une touche d’émotion et d’empathie, explique Véronique Simon-Cluzel. Et si les connaissances gagnent du terrain, notamment grâce à la communication, il est indispensable de continuer d’informer et de lutter contre les idées reçues.
L’égalité est-elle de ce monde ? Sans doute pas entre les hommes et les femmes face aux maladies. Les chercheurs ont longtemps fermé les yeux au moment de mettre au point les solutions pour y remédier, alors que des différences hormonales et enzymatiques montrent des écarts d’efficacité et d’effets secondaires parfois impressionnants. L’inclusion progressive des femmes dans les essais le démontre depuis 30 ans. Longtemps négligée, l’influence du sexe et du genre sur la santé commence à être considérée. Au-delà de l’inclusion, il s’agit peut-être de multiplier désormais des analyses spécifiques.
Acteur reconnu dans le domaine industriel, Jacques Brom a une longue expérience dans l’industrie pharmaceutique. Il a notamment exercé les fonctions de Président Directeur général de Sanofi Chimie de 2012 à 2021. Il était, par ailleurs, membre du Conseil des Affaires industrielles de l’entreprise. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de Chimie de Mulhouse, docteur et ingénieur chimiste en chimie organique, il a débuté sa carrière en 1991 en tant que directeur de production chez Roche France. En 1996, il rejoint l’usine de Sanofi à Aramon (production de la substance active) en France, avant d’être nommé Directeur du site de Quetigny (fabrication du produit fini). Jacques Brom a ensuite occupé plusieurs fonctions comme Directeur des Opérations du site de Newcastle-upon-Tyne au Royaume-Uni (fabrication du produit fini) ; comme Vice-Président Chimie-Biochimie, et Senior Vice- Président pour les produits établis et les génériques de 2017 à 2020 (37 sites industriels, 12 000 employés, 25 pays), puis de Directeur général de Sanofi Active Ingredients Solutions/Euroapi (2020 — 2021).
Ancienne directrice de la communication du Service de santé des armées au ministère des Armées, Carméla Riposa devient responsable de la communication de l'Inspection générale des affaires sociales.
Titulaire d'une maîtrise en langues étrangères appliquées aux affaires (anglais-italien), et d'un diplôme d'études supérieures spécialisées de Commerce international, diplômée du Centre de formation et de perfectionnement des journalistes (CFPJ), Carméla Riposa fut chargée des relations presse aux Éditions Maeght (1995-1996) puis aux Éditions Gallimard (1996-1997), avant d'être secrétaire générale de la rédaction et rédactrice "Vie des entreprises, économie" du quotidien de l'industrie textile et mode Boutiques International/Fashion Daily News (Éditions Méreau) (1997-1999), puis rédactrice en chef adjointe de ce quotidien (1999-2000). Journaliste et rédactrice-correctrice au quotidien "Le Parisien" (2000-2002), puis journaliste à la radio publique allemande internationale Deutsche Welle (2002-2005), elle fut ensuite coordinatrice éditoriale trilingue du Council of Museums (Unesco) (2005-2006). Journaliste au service Régions de la newsletter "La Semaine de l'économie" ("L'Usine Nouvelle") (2006), elle fut responsable éditoriale du site Internet de cette newsletter (2006-2008), puis cheffe de rubrique conjoncture française et internationale et responsable de "La Semaine de l'économie" (2008-2010). Journaliste indépendante en 2010, elle fut responsable du Pôle éditorial, adjointe au chef de la mission Publications à la direction de la recherche, de l'évaluation, des études et des statistiques (DREES), au ministère des Affaires sociales et de la Santé (2010-2013), avant d'être cheffe de la mission Publications et Diffusion (2013-2015), puis cheffe du bureau des publications et de la diffusion à la DREES (2015-2016). Cheffe du bureau des éditions à la délégation à l'information et à la communication du ministère du Travail et du ministère des Solidarités et de la Santé (2016- 2018), elle fut ensuite adjointe à la directrice de la communication du Conseil d'État, de juin 2018 à septembre 2020. Carméla Riposa était, depuis lors, directrice de la communication du Service de santé des armées au ministère des Armées.
Ancienne membre du collège, Présidente de la Commission certification des établissements de santé, de la Haute Autorité de santé, ancienne Directrice générale de l'offre de soins au ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, et ancienne directrice du groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, Marie Armanteras de Saxce prend la présidence du think tank "Health & Tech" (Cercle des décideurs Numérique & Santé) porté par Care Insight.
Diplômée de lettres et de droit, titulaire du Capes d'économie, ancienne élève de l'École nationale de la santé publique de Rennes, directrice d'hôpital, Anne- Marie Armanteras de Saxce démarra sa carrière en 1983 à la direction du Plan de l'AP-HP, où après une interruption de deux ans comme directrice adjointe de l'hôpital Henri- Mondor de Créteil, elle devint chef de service et travailla à l'élaboration du plan stratégique (1990-1995). Directrice de l'hôpital Robert Debré de 1990 à 1995, puis directrice du groupe hospitalier Bichat-Claude Bernard de 1995 à 2003, elle dirigea ensuite le groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière jusqu'en 2007. Nommée alors directrice exécutive du groupement hospitalo-universitaire Nord (Facultés de médecine de Paris VII et Paris XIII), où elle assura la coordination et le pilotage de 12 hôpitaux de l'AP-HP (2010-2013), et déléguée régionale Île-de-France de la Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne (2011-2013), elle fut directrice du pôle Établissements de santé à l'Agence régionale de santé d'Île-de-France, de février à novembre 2013. Directrice de l'offre de soins et médico-sociale à l'ARS d'Île-de-France (2013-2016), elle fut Directrice générale de l'offre de soins au ministère des Affaires sociales et de la Santé, d'avril 2016 à avril 2017. Membre du collège, présidente de la Commission certification des établissements de santé, de la Haute Autorité de santé, d'avril 2017 à mars 2020, Anne-Marie Armanteras de Saxce était, depuis lors, conseillère santé, handicap, personnes âgées à la présidence de la République.
Le Conseil d’administration du Leem (Les Entreprises du Médicament) a élu, mardi 5 juillet 2022, Thierry Hulot — Président Directeur général de Merck en France — à la présidence du Leem, pour un mandat de deux ans. C’est en 1989 que Thierry Hulot débute sa carrière comme chargé d’études biopharmaceutiques au sein du laboratoire Delagrange. En 1992, il rejoint Synthélabo Recherche comme chef de projet en pharmacocinétique clinique.
Thierry Hulot intègre le Groupe Merck en 1995, où il occupe différents postes en R&D en France et en Allemagne. En 2007, il poursuit son activité en Suisse chez Merck Serono, après l’acquisition de Serono par le groupe Merck. Il crée la fonction Management de Projets au sein de la nouvelle entreprise. Il dirige ensuite le cabinet du Président de Merck Serono jusqu'en 2012, avant de créer l’activité Biosimilaires en 2013. En octobre 2013, Thierry Hulot est nommé Directeur des activités industrielles et supply monde. Depuis février 2017, Thierry Hulot est Président Directeur général de Merck en France en travaillant l’alliance de 3 domaines d’activités à savoir, la santé, les sciences du vivant, et l’électronique. Il est également Directeur général de la division Biopharma en France. Thierry Hulot est diplômé en pharmacie et en métabolisme des médicaments (Université René Descartes et Université Paris Sud). Il est également titulaire d'un MBA de l'Université Ashridge (Royaume-Uni).
En avril 2022, elle quittait la fonction de Directrice générale de l'offre de soins (DGOS) au sein du ministère de la Santé pour être nommée inspectrice générale des affaires sociales (Igas). Elle a également occupé, en 2018 la Direction générale de la Haute autorité de santé (HAS). Diplômée de l'École nationale d'administration (ENA) en 2001, elle a débuté sa carrière comme adjointe au chef puis chef du bureau de l'enfance handicapée.
Diplômé de HEC, Laurent Faugère a développé tout au long de son parcours une grande expérience du secteur de la santé. Il débute sa carrière professionnelle au sein du Boston Consulting Group, où il reste 7 ans. Il rejoint ensuite le laboratoire pharmaceutique AstraZeneca en France, exerçant différentes fonctions marketing, ventes et de direction sur l’ensemble du portefeuille produit, de la cardiologie à l’oncologie. En 2015, il rejoint le Groupe familial Urgo en tant que Directeur général de l’activité Cicatrisation, Urgo Medical. Il renforce notamment l’internationalisation de l’entreprise avec une acquisition majeure aux États-Unis et conduit sa transformation digitale avec l’application Healico, récompensée récemment par le prix Galien.
Médecin interniste en équipe mobile de soins palliatifs au Centre Hospitalier de Montauban, Florence Rigal devient Présidente de Médecins du Monde.
Docteure en Médecine, spécialité en médecine interne, diplômée de la Faculté de médecine de Toulouse, titulaire du diplôme universitaire de Pratiques de Soins palliatifs, Florence Rigal fut cheffe de clinique puis attachée en médecine interne au CHU Toulouse (1998- 2003). Praticien hospitalier en médecine interne au Centre hospitalier de Lavaur (2003- 2013), Florence Rigal est depuis avril 2017, médecin interniste en équipe mobile de soins palliatifs au Centre Hospitalier de Montauban. Elle est par ailleurs présidente de l'Association Toulouse Asperger, depuis 2018.
Chercheur et professeur à AgroParisTech, expert scientifique en Génie des procédés alimentaire et biotechnologique, Gilles Trystram, a dirigé pendant dix ans l'établissement d’enseignement supérieur et de recherche AgroParisTech, dont il a porté le transfert sur le plateau de Saclay avant de quitter ses fonctions en novembre 2021.
Engagé au sein de nombreux conseils scientifiques et comités d’experts, Gilles Trystram a développé de solides réseaux en France et à l’international. Sa connaissance de l’écosystème des biotechnologies constitue un appui majeur pour la croissance de Génopole en faveur de l’innovation académique et industrielle dans les domaines de la santé et du développement durable (greentech, agtech, foodtech, biocarburants…).
L’assemblée générale ordinaire du Syndicat national de l’industrie des technologies médicales a élu Lucile Blaise, à la Présidence du snitem pour un mandat de 2 ans.
Lucile Blaise, actuellement vice-présidente de ResMed pour l’Europe de l’Ouest en charge de la division Sommeil Soins Respiratoires, est une experte reconnue dans le secteur des technologies médicales. Elle possède plus de 25 ans d’expérience dans la vente, le marketing, la finance et le développement commercial de dispositifs médicaux. En poste chez ResMed depuis 2006, elle dirige les efforts déployés par ses équipes auprès des partenaires du secteur public et privé pour faire avancer le déploiement et les prises en charge de la santé connectée en France, en Belgique et largement dans l’ensemble de son périmètre.
Diplômée de ESC Bordeaux / KEDGE business school en 1996, Lucile Blaise est titulaire du Bachelor of Arts en Commerce International (BAIB) – Université de Sheffield obtenu en 1993.
Fort de trente années d’expérience de Direction générale sur les marchés B2B, dont vingt basées en dehors de France, Alain Kirchmeyer était précédemment Directeur général du façonnier pharmaceutique français Unither Pharmaceuticals. Il pilote la Direction du Groupe dans la perspective d’accélérer sa performance, en Europe et en Amérique du Nord.
Alain Kirchmeyer est ingénieur civil de l’École des Mines et parle couramment français, anglais et chinois. Avant Unither qu’il avait rejoint en 2019, Alain Kirchmeyer a occupé des postes de Direction opérationnelle et générale notamment chez Johnson Matthey PLC, Morgan Advanced Materials Plc ou Saint-Gobain.
La santé des femmes pour fil conducteur
L’essor des stratégies d’engagement digitales
Logistique pharmaceutique : Rhenus tient la route
Pour une recherche en genre et en nombre
L’intelligence artificielle : accélérateur de la prévention dans les maladies rares
Transports plus verts : où sont les priorités ?